L'orthodontie

Pourquoi consulter en orthodontie ?

L'orthodontie et ses indications

L’objectif du traitement d’orthodontie est d’obtenir un alignement des dents et une occlusion fonctionnelle tout en tenant compte de l’esthétique du sourire.

L’orthodontie peut être indiquée en cas de :

Malocclusions dentaires : principal motif de consultation, les malocclusions dentaires regroupent un ensemble d’anomalies dentaires telles que la position des dents, les encombrements, les diastèmes, les décalages sagittaux, transversaux ou verticaux.

Positionnement des maxillaires : l’orthodontie peut également être utile pour stimuler la croissance et corriger des décalages squelettiques conjointement à une chirurgie orthognatique.

Dysfonctions oro-faciale : l’orthodontie peut aider à corriger les mauvaises habitudes de la sphère oro-faciale, d’améliorer la ventilation nasale et d’obtenir une mastication fonctionnelle. L’absence de correction de ces dysfonctions peuvent nuire à la position des dents et à la croissance faciale.

Problèmes esthétiques : le traitement orthodontique peut améliorer l’esthétique du sourire en corrigeant le positionnement des dents et en corrigeant les malocclusions.

Pas seulement pour les adolescents

L'orthodontie, pour qui ?

Pour les enfants

à partir de 5 ans

Enfants

Il est possible d’agir sur des décalages transversaux, sagittaux et verticaux afin de stimuler la croissance, d’améliorer la ventilation, la phonation, de limiter les dents incluses, de corriger des malpositions dentaires et de prévenir du risque de traumatisme dentaire.

Pour les adolescents

jusqu'à 16 ans

Adolescents

Chez les filles, un pic de croissance survient au début de la puberté, en moyenne à l’âge de 10–11 ans. Chez les garçons, les premiers signes de la puberté et le pic de croissance sont un peu plus tardifs survenant en moyenne vers 12 ans. Un traitement débuté dans les temps permettra de stimuler au mieux la croissance.

Pour les adultes

de tous âges

Adultes

Les traitements pour adultes nécessitent souvent la collaboration avec d’autres professionnels de santé tels que le chirurgien-dentiste, le chirurgien maxillo-facial, l’implantologue our le parodontologiste.

Les principales malocclusions

– Accès limité aux zones de brossage.

– Favorise une rétention de plaque dentaire propice aux bactéries cariogènes et/ou parodontogènes.

Défaut vertical, peut causer :

– des morsures palatines,

– des troubles de l’articulation temporo-mandibulaire,

– des usures prématurées des surfaces dentaires.

Perturbation de l’occlusion avec absence de guide antérieur et mauvais positionnement lingual.

Qu’ils soient d’origine maxillaire ou mandibulaire, les décalages sagittaux peuvent être corrigés de plusieurs manières : élastiques inter-arcades, dispositifs fixes ou amovibles. Parfois lorsque ceux-ci sont trop importants une chirurgie maxillo-faciale est parfois nécessaire.

Le palais étroit et le manque de place sur les arcades dentaires provoquent des éruptions ectopiques, pouvant causer des asymétries faciales et des troubles de la croissance des maxillaires s’ils ne sont pas détectés à temps.

Les excès transversaux sont rares mais peuvent entraîner une déviation de la mandibule.

La persistance d’une dent de lait peut être le signe d’une dent incluse.

On risque alors une perte du potentiel masticatoire, une égression de la dent antagoniste, une perturbation de l’occlusion.

Risque de récessions parodontales et de traumatismes dentaires.

Peuvent être la résultante de mobilité dentaire. Les papilles interdentaires ne sont pas protégées par les points de contact dentaire.

Trois préjugés revus et corrigés

Les idées reçues en orthodontie
Combien ça coûte ?

Chez l’enfant, les honoraires s’entendent par période de 6 mois de traitement. Chaque semestre est remboursé 193,50 € par votre caisse d’assurance maladie, le reste à charge pouvant être remboursé partiellement ou totalement par votre mutuelle. Le remboursement se fait par période de 6 mois et à la fin de chaque périodeLes traitements débutés au-delà de 16 ans ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie.

Pour une première consultation, une demande de rendez-vous